04 janvier 2022

Semaine 6

 

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Comment je me suis guérie par l'intuition, les synchronicités et la rétrocausalité

Un voyage initiatique des temps modernes

 Jour 36

 Lorsque l'on n'écoute pas les synchronicités d'empêchement.… (ter)

 Je me suis donc fait opérer ces fameuses varices. Cela revenait à faire de la chirurgie vasculaire nécessitant obligatoirement une anticoagulation post-opératoire  de qq semaines.

 Lorsque je me suis levée après l'opération, ma jambe gauche a cédé. Je suis tombée et me suis déchirée un groupe de muscles de la cuisse nommés les adducteurs.

 Il s'avère que le chirurgien avait lésé leur nerf pendant l'opération. Un examen neurologique postérieur a objectivé cette lésion : dénervation complète du muscle. J'étais dorénavant paralysée de la cuisse gauche.

 Mais la lésion du nerf impliquait aussi un autre muscle abîmé, interne au bassin, que personne ne voyait, sauf à l'IRM. Ce muscle s'est par la suite atrophié de 50 % par rapport à son homologue droit. Ces muscles sont important pour l’assise du bassin et cette importante asymétrie me crée dorénavant un déséquilibre à chaque pas.

 J'ai aussi appris 3 ans plus tard, en lisant le rapport opératoire, que le Pr D. (pour dangereux!) avait, en plus, sectionné un des plus gros ligaments qui maintiennent la stabilité du bassin. Il s’agit donc là d’une deuxième source de déséquilibre qui est fréquemment à l’origine d’une subluxation de l’articulation sacro-iliaque.

 Finalement pour couronner le tout, un événement grave consécutif surviendra qq semaines plus tard.

Beaucoup de complications, donc, pour ne pas avoir compris l’important barrage synchronistique pour m’éviter une opération délétère qui, en plus, était inadéquate car basée sur un faux diagnostic.

 Voilà ce qu'est un voyage initiatique où jamais rien n'est fini. A peine passé un obstacle, il y en a un nouveau.

 Je suis donc sortie de l'hôpital bien plus mal en point que je n'y suis rentrée.

 Mais rappelons-nous que ses synchronicités musclées d'empêchement m'avaient été envoyées. J'étais en train d'apprendre durement ce nouvel enseignement.

 Il est clair qu'aujourd'hui, après 8 ans passés à "apprendre le chinois" dans cette moulinette, je comprendrais tout de suite qu'il faut partir en courant et écouter la toute petite première voix qui m'avait dit que c'était faux.

 Je vous en reparlerai plus tard.

 Si j’écris cela aujourd'hui, ce n'est pas pour me plaindre de plusieurs erreurs médicales dont j'ai fait l'objet.

 C'est pour témoigner qu'il faut descendre aux enfers ( contre notre volonté) pour nous transformer aussi intensément qu'une chenille en papillon.

 Cette transformation ne se fait pas s'il nous reste la moindre possibilité de garder encore notre fonctionnement précédent qui demande à être changé.

 Mais demain, nous reviendrons à un texte plus léger, je vous promets.

 Belle journée sous le soleil, Cornelia






 Jour 37

 Il existe plusieurs sortes de synchronicités.

 Dans mes 3 derniers posts, je vous ai parlé de l’une de mes courses d’obstacles où l’Univers  (ou mon inconscient) m’ont envoyé des synchronicités d’empêchement que je n’ai pas écoutées parce que je n’y connaissais rien.

 Mes 8 ans de voyage initiatique m’ont enseigné ce langage synchronistique qui comporte évidemment plus qu’un seul mot.

 Les synchronicités sont innombrables et comptent autant de nuances que de messages.

 J’ai simplement observé qu’il y en a de plusieurs catégories.

 Il faut le savoir, sinon, on en rate tout un nombre et c’est dommage, car les synchronicités sont enseignantes et protectrices. Dans la mesure où elles viennent d’ailleurs, de cet univers hors espace- temps appelé Kairos, elles dépassent les limites de notre mental et nous permettent de voir plus loin. J’en ai parlé dans les posts des jours 17-18-19-26-30. L’écoute des synchronicités nous rend plus intelligents.

Alors écoutons et observons.

 Au tout début de ce partage, au jour 5, je vous ai parlé de la synchronicité merveilleuse du lilas blanc. Elle me semble appartenir aux synchronicité de confirmation.

 C’est comme si le message disait : « Oui, c’est juste ! » ou « Oui, c’est bien ça ».

J’en ai détecté d’autres formes encore.

 Et vous, certainement que vous en avez vécues aussi de votre côté. Seriez-vous d’accord de nous en partager l’un ou l’autre ?

 L’échange est bienvenu.

 A demain, Cornelia





Jour 38

 Il existe plusieurs sortes de synchronicités (bis)

 Hier, je vous disais qu'il y a plusieurs formes de synchronicités. Je vous citais notamment les synchronicités de confirmation et d'autres, d'empêchement.

 Il y en a d'autres aussi, plus subtiles, juste pour le plaisir, qui ne changeront rien de fondamental, si ce n'est d'amener un petit moment de joie, ce qui est déjà magnifique. Une sorte de clin d'oeil. A ne pas rater, donc !

 En voici une très jolie, poétique.

 Je me trouvais installée dans mon jardin avec ma petite fille de 3 ans et nous étions en train de regarder un livre d'animaux. Il y avait un chat, un chien, ou ours et tutti quanti. Et une chenille.

 Je voulais expliquer la métamorphose de la chenille en papillon à ma petite fille et je cherchais désespérément un papillon dans ce livre. J'ai regardé encore et encore. Non, il n'y en avait pas !

 J'étais un peu déçue, mais cela n'a pas duré longtemps, car le seul papillon de mon jardin est immédiatement venu se poser à côté de ma petite fille. J'en suis restée émerveillée et j'ai pu lui dire : " Tu vois, la chenille quand elle sera grande, elle deviendra un papillon comme ça ". N'est-ce pas merveilleux ?

 Si cette histoire vous a plu, pensez à la partager avec vos amis.

 A demain, Cornelia 





Jour 39

 Une synchronicité anticipative

 Quelques mois avant mon opération catastrophique (décrite dans le jour 36), j'ai passé devant une librairie où était exposé un nouveau livre de Laurent Gounelle.

 Je l'ai pris en me disant que ce serait un livre pour des prochaines vacances. J'étais loin d'imaginer que ce livre allait m'accompagner jusqu'aux soins intensifs !

 En effet, c'est là que j'ai abouti 5 semaines après mon opération.

 Nous l'avons déjà vu, le temps est élastique dans sa composante Kairos. L'anticipation en fait partie. C'est le futur qui nous fait un clin d'oeil.

 Je vous raconterai demain ma prochaine course d'obstacles.





Jour 40

Un jour pas comme les autres

 C'est comme un jeu de domino. 

Lorsque la première pièce tombe, les autres suivent !

 Cela faisait plus d'une année que j'avais des douleurs insupportables et que j'avais subi une opération catastrophique. 5 semaines plus tard, j'ai subitement eu énormément de peine à respirer et me suis retrouvée aux urgences.

 J'ai juste eu le réflexe d'embarquer le livre de Laurent Gounelle.

 Pendant les longs moments d'attente, je lisais ce livre.

 Puis le verdict est tombé :

Embolie massive, centrale et bilatérale.

Ad soins intensifs !

 Un énorme caillot s'était formé à l'endroit de l'opération, et comme je n'étais pas anticoagulée, il a migré vers les poumons.

 Ce jour-là, j'ai failli mourir. Mais je n'étais pas prête. Je ne m'étais jamais confrontée à ma propre mort !

 Au retour chez moi, j'ai posé le livre sur la table, complètement sonnée de tout ce qui venait de m’arriver. Et c'est seulement à ce moment-là que j'ai lu son titre :

 Le jour où j'ai appris à vivre 

 C'est ainsi que l'Univers m'a confirmé que le jour où j'ai failli mourir, j'ai commencé à vivre. Hallucinant ce message et cette synchronicité paradoxale !

J’ai observé que l’Univers adore se servir de paradoxes. C’est son sens de l’humour de dire tare pour barre.

 En plus, je n'avais pas remarqué tous les papillons dessinés sur la page de couverture !

 Pourtant, le papillon est le symbole même de ma métamorphose. En effet, il y a toujours eu des papillons qui m’ont accompagnée dans mon parcours initiatique depuis le début.

 Je suis heureuse de l'avoir observé ce jour-là. Cela a été d'un grand réconfort. 





Jour 41

Recherches sur la mort

J'ai donc été confrontée à ma propre mort. Je n'étais pas prête et j'ai compris que c'était le moment de m'y intéresser. La mort est l’initiation ultime à laquelle il est conseillé de se préparer.

 J'y ai passé des années. J'ai lu d’innombrables livres, visionné tout autant de vidéos, suivi de nombreux symposiums.

 J'ai fini par comprendre que la mort n'existe pas en tant que telle. Ce n’est pas une finitude, mais un passage d’une dimension à une autre, du temps Chronos de la matérialité au temps Kairos hors espace-temps.

 Mais cela n'a pas été simple. Il a fallu que je le comprenne vraiment, pas seulement que je croie ce que les gens disaient.

 J'ai étudié cela comme un médecin que je suis, avec des critères scientifiques, mais aussi avec mon intuition qui me disait quand qq chose ne collait pas. Je suis restée une sceptique ouverte.

 Nous avons parfois l’impression d’une finitude car nous nous identifions à notre corps physique.

Mais nous ne sommes pas ce corps, nous sommes DANS ce corps.

Il ne faut pas confondre la voiture et l’automobiliste.

 A demain





Jour 42

Recherches sur la mort (bis).

 Je vous parlais hier de mes recherches sur la mort. Alors voilà ce que j'ai compris :

 Je vous disais hier qu'il ne faut pas confondre l'automobiliste et la voiture. A tout moment, l'automobiliste peut sortir de son véhicule et remonter dans un autre. Ce serait donc le cycle des réincarnations.

 Mais restons dans cette incarnation-là. Elle a eu un début lors de la fécondation. Elle a suivi tout un cycle ( parfois abrégé en cas de maladies ou de mort violente). Mais elle a obligatoirement une fin.

 Cependant, notre finitude corporelle ne signifie pas la fin de notre conscience. Celle-ci est immortelle, car elle demeure dans l'univers hors espace-temps, nommé le Kairos ( j'en ai déjà parlé dans les jours 17, 18, 26).

 Nous pouvons aussi prendre l’exemple de la chenille et du papillon qu’elle devient. Avec le même ADN, elle passe de lourdeur, lenteur, pas de visibilité, à légèreté, liberté et vision à 360 °. Pourtant, si on avait demandé son avis à la chenille, elle aurait été terrifiée à l’idée de s’envoler.

 Ainsi en est-il de notre existence. A la mort, nous changeons de dimensions.

 A l’instar du cocon de la chrysalide, notre corps se vide de sa substance vivante, notre âme. Nos vibrations s’élèvent et notre âme peut prendre toute son expansion.





A la semaine prochaine.


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