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Comment
je me suis guérie par l'intuition, les synchronicités et la rétrocausalité
Un voyage initiatique des temps modernes
Beaucoup de complications, donc, pour
ne pas avoir compris l’important barrage synchronistique pour m’éviter une
opération délétère qui, en plus, était inadéquate car basée sur un faux
diagnostic.
Alors écoutons et observons.
J’en ai détecté d’autres formes
encore.
Jour 38
Il existe plusieurs sortes de synchronicités (bis)
Hier, je vous disais qu'il y a plusieurs formes de synchronicités. Je vous citais notamment les synchronicités de confirmation et d'autres, d'empêchement.
Il y en a d'autres aussi, plus subtiles, juste pour le plaisir, qui ne changeront rien de fondamental, si ce n'est d'amener un petit moment de joie, ce qui est déjà magnifique. Une sorte de clin d'oeil. A ne pas rater, donc !
En voici une très jolie, poétique.
Je me trouvais installée dans mon jardin avec ma petite fille de 3 ans et nous étions en train de regarder un livre d'animaux. Il y avait un chat, un chien, ou ours et tutti quanti. Et une chenille.
Je voulais expliquer la métamorphose de la chenille en papillon à ma petite fille et je cherchais désespérément un papillon dans ce livre. J'ai regardé encore et encore. Non, il n'y en avait pas !
J'étais un peu déçue, mais cela n'a pas duré longtemps, car le seul papillon de mon jardin est immédiatement venu se poser à côté de ma petite fille. J'en suis restée émerveillée et j'ai pu lui dire : " Tu vois, la chenille quand elle sera grande, elle deviendra un papillon comme ça ". N'est-ce pas merveilleux ?
Si cette histoire vous a plu, pensez à la partager avec vos amis.
A demain, Cornelia
Jour 39
Jour 40
Un jour pas comme les autres
C'est comme un jeu de domino.
Lorsque la première pièce tombe, les autres suivent !
Cela faisait plus d'une année que j'avais des douleurs insupportables et que j'avais subi une opération catastrophique. 5 semaines plus tard, j'ai subitement eu énormément de peine à respirer et me suis retrouvée aux urgences.
J'ai juste eu le réflexe d'embarquer le livre de Laurent Gounelle.
Pendant les longs moments d'attente, je lisais ce livre.
Puis le verdict est tombé :
Embolie massive, centrale et
bilatérale.
Ad soins intensifs !
Un énorme caillot s'était formé à l'endroit de l'opération, et comme je n'étais pas anticoagulée, il a migré vers les poumons.
Ce jour-là, j'ai failli mourir. Mais je n'étais pas prête. Je ne m'étais jamais confrontée à ma propre mort !
Au retour chez moi, j'ai posé le livre sur la table, complètement sonnée de tout ce qui venait de m’arriver. Et c'est seulement à ce moment-là que j'ai lu son titre :
Le jour où j'ai appris à vivre
C'est ainsi que l'Univers m'a confirmé que le jour où j'ai failli mourir, j'ai commencé à vivre. Hallucinant ce message et cette synchronicité paradoxale !
J’ai observé que l’Univers adore se
servir de paradoxes. C’est son sens de l’humour de dire tare pour barre.
En plus, je n'avais pas remarqué tous les papillons dessinés sur la page de couverture !
Pourtant, le papillon est le symbole même de ma métamorphose. En effet, il y a toujours eu des papillons qui m’ont accompagnée dans mon parcours initiatique depuis le début.
Je suis heureuse de l'avoir observé ce jour-là. Cela a été d'un grand réconfort.
Jour 41
Recherches sur la mort
J'ai donc été confrontée à ma propre mort. Je n'étais pas prête et j'ai compris
que c'était le moment de m'y intéresser. La mort est l’initiation ultime à
laquelle il est conseillé de se préparer.
J'y ai passé des années. J'ai lu d’innombrables livres, visionné tout autant de vidéos, suivi de nombreux symposiums.
J'ai fini par comprendre que la mort n'existe pas en tant que telle. Ce n’est pas une finitude, mais un passage d’une dimension à une autre, du temps Chronos de la matérialité au temps Kairos hors espace-temps.
Mais cela n'a pas été simple. Il a fallu que je le comprenne vraiment, pas seulement que je croie ce que les gens disaient.
J'ai étudié cela comme un médecin que je suis, avec des critères scientifiques, mais aussi avec mon intuition qui me disait quand qq chose ne collait pas. Je suis restée une sceptique ouverte.
Nous avons parfois l’impression d’une finitude car nous nous identifions à notre corps physique.
Mais nous ne sommes pas ce corps,
nous sommes DANS ce corps.
Il ne faut pas confondre la voiture et l’automobiliste.
A demain
Jour 42
Recherches sur la mort (bis).
Je vous parlais hier de mes recherches sur la mort. Alors voilà ce que j'ai compris :
Je vous disais hier qu'il ne faut pas confondre l'automobiliste et la voiture. A tout moment, l'automobiliste peut sortir de son véhicule et remonter dans un autre. Ce serait donc le cycle des réincarnations.
Mais restons dans cette incarnation-là. Elle a eu un début lors de la fécondation. Elle a suivi tout un cycle ( parfois abrégé en cas de maladies ou de mort violente). Mais elle a obligatoirement une fin.
Cependant, notre finitude corporelle ne signifie pas la fin de notre conscience. Celle-ci est immortelle, car elle demeure dans l'univers hors espace-temps, nommé le Kairos ( j'en ai déjà parlé dans les jours 17, 18, 26).
Nous pouvons aussi prendre l’exemple de la chenille et du papillon qu’elle devient. Avec le même ADN, elle passe de lourdeur, lenteur, pas de visibilité, à légèreté, liberté et vision à 360 °. Pourtant, si on avait demandé son avis à la chenille, elle aurait été terrifiée à l’idée de s’envoler.
Ainsi en est-il de notre existence. A la mort, nous changeons de dimensions.
A l’instar du cocon de la chrysalide, notre corps se vide de sa substance vivante, notre âme. Nos vibrations s’élèvent et notre âme peut prendre toute son expansion.
A la semaine prochaine.
En attendant, retrouvez-moi sur mes
deux sites :
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