Un voyage initiatique des temps modernes
Comment je me suis guérie par l'intuition, les synchronicités et la rétrocausalité
Au début de ma carrière médicale, j’ai souhaité élargir mes approches #thérapeutiques et c’est ainsi que je me suis tournée vers l’#homéopathie.
Je n’ai rien
retenu de ce cours qui était un peu « allumé », sauf une
chose :
Les lois de Hering.
Les homéopathes sont d’excellents #observateurs car toute leur approche est basée sur l’examen extrêmement précis des #symptômes autant #physiques que #psychiques.
Constantin HERING (1800-1880) a marqué profondément l’histoire de l’homéopathie et c’est à lui que l’on doit l’introduction de ce qui était alors une « nouvelle médecine » aux U.S.A.
Il faut rappeler ici que le diagnostic en homéopathie se fait sur des #critères totalement #différents que ceux de la #biologie seule. Elle tient compte de la personne dans sa #globalité.
Le traitement, lui aussi, est basé sur ces symptomatologies personnelles, ce qui signifie que pour une même maladie, par exemple une angine, dix patients recevront chacun un produit différent. Etonnant, n'est-ce pas ?
Il y a aussi une latéralité qui signifie qu’une angine à droite se traitera différemment qu’une angine à gauche. Là, j’y ai perdu mon latin ! et je me suis dit que j'étais arrivée chez les fous.
A l’époque, cette manière de penser et de traiter la maladie m’a profondément choquée. Même si je n’ai pas persévéré dans cette approche, j’y ai appris énormément de choses, dont l’aspect vibratoire des médicaments et les fameuses lois de Hering.
Hering avait observé que lors d’une guérison, quelle qu’elle soit, elle suit une direction. Elle se fait
de haut en bas
de dedans en dehors
dans l’ordre
inverse de l’apparition des symptômes. Ceci signifie que la spirale de la guérison se déroule des événements des événements nouveaux aux anciens, en en oubliant aucun !
Même si cela
paraît étrange d’un premier abord, la troisième a résonné en moi.
Pour en venir aux deux premières lois ( symptômes du haut vers le bas et du dedans vers le dehors), cela signifie néanmoins une lecture de la symptomatologie assez étrange, comme l'amélioration d'une douleur de l’épaule qui évolue en cystite ! ( du haut vers le bas), ou un ulcère d’estomac qui tourne en eczéma ( de l’intérieur vers l’extérieur).
Comme je vous
l’ai dit, cette manière de réfléchir me perturbe. J’ai donc laissé tomber ça.
J’ai néanmoins été hallucinée par l’efficacité d’une SEULE dose homéopathique chez mon fils de 6 ans qui souffrait d’un #eczéma intraitable depuis des mois et pour lequel, même la cortisone ne faisait rien.
***
Par contre, la
troisième loi de Hering se vérifie toujours ( des événement nouveaux aux anciens ).
Il suffit de le savoir pour l’observer. Si l’on ne connait pas ce processus, évidemment, on ne s’en rendra pas compte. Mais ce n’est pas pour autant que cela ne se produit pas !
Observez bien ce qui vous arrive.
Comme j’ai très tôt été sensibilisée à cet étrange phénomène ( que je ne m’explique pas pour autant), je l’ai observé régulièrement chez tous mes patients. Les lois de Hering n’ont aucun trouble de la mémoire. C’est une loi implacable !
C’est ce qui m’est arrivé durant ma maladie, puis ma guérison. Tous les anciens symptômes sont réapparus, les uns après les autres.
Si l’on ne connait pas cette loi invisible, on a l’impression de rechuter alors que l’on est justement en train de guérir ! ! ! Il faut le savoir.
Il faut visualiser ce phénomène comme une vis que l’on enfonce progressivement dans du bois.
Pour l’enlever, il ne suffit pas de tirer dessus. Il faut entièrement la dévisser. Alors, on peut dire que la guérison dévisse la maladie. C'est joli, non ?
#vibratoire
#homeopathie
#symptome
#guerison
#maladie
Un voyage initiatique des temps modernes
Comment je me suis guérie par l'#intuition, les #synchronicités et la #rétrocausalité
Au cours de mon
voyage au pays des mille douleurs physiques, psychiques et spiituelles, j’ai
également rencontré un personnage à deux facettes : mon #mental.
Une partie de ce mental est extraordinaire et m’aide à structurer mes pensées et mes actions et l’autre tourne en rond comme un hamster dans sa roue, dans des ruminations futiles, inutiles et épuisantes. Cette partie-là active des #peurs incessantes et insensées. En arrière du mental se trouve caché l’#égo.
Vade retro Satanas !
Ces
paroles auraient été prononcées par Jésus, mais nous n’entrerons pas là-dedans.
Cette formulation nous permet néanmoins d’identifier celui qui est le
séparateur, l’adversaire en
nous.
Dans la
Bible, Satan représente surtout l’adversaire, l’accusateur, le tentateur. Il
n’est devenu vraiment le #diable, prince de l’enfer, qu’au #Moyen Age, sous
l’influence de l’Eglise qui voulait soumettre ses #ouailles par la terreur. Par
cette démarche-même, l’Eglise en est devenue diabolique. On ne compte pas les
millions de personnes qui ont été tuées en son nom. Jésus ne s’adressait donc
pas à ce diable-là.
Notre persécuteur interne, c’est notre égo qui s’exprime via notre mental. C’est ennuyeux et il faut le savoir. C’est le côté obscur de notre personnalité, laquelle est le résultat de notre vie souvent #chaotique.
Le mental est pourtant un magnifique outil offert par notre cerveau. Il nous permet de réfléchir, d’analyser, d’organiser, de calculer, de lire et d’écrire et même d’anticiper !
Mais voilà que l’égo traumatisé s’en sert contre nous pour
nous persécuter de l’intérieur, nous obséder, nous faire peur, prévoir toujours
le pire, imaginer des scénarios catastrophes. Il crée nos tourments intérieurs.
Et voilà que cela nous aggrave beaucoup, car la projection dans le futur de
toutes ces peurs, active la rétrocausalité inconsciente et nous emmène sur la
pente glissante d’un #futur à l’image de nos #projections. Nous devenons ainsi la #victime de notre égo qui devient notre ennemi intérieur.
Au
départ, l’égo est prévu pour construire notre personnalité, pour nous permettre
de savoir et de définir qui nous sommes. Il est donc important pour nous aider
à évoluer, à mûrir. Il nous apprend à dire Je et Moi, mon et le mien, je veux
et je ne veux pas. Il est nécessaire pour nous aider à nous individualiser.
Mais ensuite, il devrait arrêter sa progression, ce qui évidemment n’est pas
possible.
Il se
referme alors sur nous parce qu’il est pollué par toutes les expériences
négatives qu’il a enregistrées. En effet, l’égo fonctionne grâce à notre
inconscient, lequel garde tout en mémoire, le bon comme le moins bon. Il crée
la séparation à l’intérieur de nous-même, allant parfois jusqu’à la #dissociation.
Un voyage initiatique des temps modernes
Comment je me suis guérie par l'intuition, les synchronicités et la rétrocausalité
A propos de
l’égo et de la sérénité
Lorsque
notre personnalité met en place ce #narcissisme, il faut comprendre que c’est
une protection inconsciente pour nous empêcher de voir notre fragilité. Une
surdose d’égo nous maintient dans le #déni de nos blessures.
Bien sûr,
tout le monde connaît la signification de la plus grosse voiture, de la plus
belle maison et du plus grand yacht. Mais la personne concernée n’en a pas
conscience. Elle considère les autres du haut de sa pseudo-supériorité.
Il est
important de savoir lire sa misère intérieure au-delà des apparences. Elle se
raconte des histoires qui ne sont pas vraies. Cela la rend très vulnérable car
tout peut s’effondrer en un instant.
L’égo
nous sépare des autres
Il nous
enferme dans notre égocentrisme et nous empêche de nous ouvrir à l’altérité et
à l’amour. Il ressemble à un système exponentiel qui prend toujours plus de
pouvoir tant qu’on n’en a pas pris conscience. Il nous maintient dans
l’immaturité et nous fait tout voir avec des verres déformants.
C’est
très frappant de voir la transformation qui se passe chez les personnes qui
sont promues à des postes de responsabilités. En plus de leur #ego personnel,
elles développent un égo professionnel.
Que dire
de l’énorme égo des dirigeants politiques dont leur pouvoir passe avant
l’intérêt du peuple ?
Il en est
de même dans les domaines #spirituels : la plupart des
« maîtres » et des enseignants développent un égo spirituel car ils
pensent qu’ils savent mieux que les autres. Nous voyons donc à quel point l’égo
devient un élément de séparation.
Dans la
spiritualité bouddhique, on parle de la nécessaire dissolution de l’égo pour
accéder au monde du Grand Tout, de la Source, de l’Amour, mais aussi de la
Sérénité.
Quant au psychanalyste Carl Gustav Jung, il décrit le processus d'individuation.
Comment
se débarrasser de l’égo ?
Par la prise
de #conscience de son pouvoir qui, à l’image d’un poison, s’infiltre dans
notre vie de tous les jours, dans chaque moment et partout.
Et puis,
par le #lâcher-#prise dont tout le monde parle. Plus vite dit que fait. Le
voyage #initiatique s’en occupe donc à notre place si nous ne réagissons pas par
la résistance au changement.
Finalement,
par l’exercice quotidien de l’#humilité. Accepter notre place de #goutte
dans l’océan, goutte tellement petite et tellement importante à la fois, car
toutes les gouttes sont nécessaires pour faire l’immensité de l’océan. Mais
aucune n’est plus importante qu’une autre.
Pour
accéder à la sérénité, il faut aussi du #courage et de la #sagesse. Ceci nous est
merveilleusement rappelé dans la prière de la sérénité. S’adressant à la
puissance supérieure de notre choix, elle dit :
Donne-moi
La sérénité d’accepter ce que je ne peux pas changer
Le courage de changer ce que je peux et
La sagesse d’en connaître la différence.
Tout est
dit là. Il n’y a pas de place pour l’égo dans la sérénité. Elle enseigne le
lâcher prise et nous pousse néanmoins à l’action. Si nous voulons vraiment
changer notre avenir, il faut le créer via la rétrocausalité. C’est là que l’on
retrouve la sagesse, celle qui est de lâcher l’ancien futur pour en créer un
nouveau, calme et serein.
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Comment je me suis guérie par l'intuition, les synchronicités et la rétrocausalité
L’univers fabuleux des #fascias
J’ai eu tellement mal partout depuis
trop longtemps que tout mon corps, tel un #monolithe, est devenu un seul bloc de
spasmes, de la tête jusqu’aux pieds.
Puis un jour, un nouveau diagnostic de
syndrome myo-fascial est tombé : cela a été une révélation. Je comprenais
médicalement la moitié du terme, myo, qui signifie muscle. Oui, c’était
évident puisque j’avais tellement de contractures dans tout le corps. Je
n’étais plus qu’un sac de nœuds, des centaines partout.
Mais pourquoi le terme #fascial ?
Bien sûr que j’avais appris dans mes cours d’anatomie que les #fascias étaient
les enveloppes des muscles. Ce sont les petites enveloppes translucides que
l’on voit bien dans un poulet frais, avant de le cuire. Et puis alors ?
Ainsi, je me suis plongée dans ce
monde insoupçonné. J’ai appris que non seulement, les fascias entouraient les
muscles, mais aussi chaque structure dans le corps : chaque muscle, chaque
organe, chaque nerf, chaque vaisseau sanguin. Cela ressemble à Spiderman, non
seulement dans le sens de la longueur et de la largeur, mais aussi sur toute
l’épaisseur du corps !
C’est un seul et même faisceau, une
sorte d’Internet fascial qui réunit toutes les parties du corps. Il faut en
parler au singulier. Ce ne sont pas des fascias séparés, mais un seul et même
fascia. Il représente plus de 20 kg ! dans notre corps.
Il se nomme aussi le tissu conjonctif
ou le tissu de soutien.
A l’époque de mes études, il était
avant tout considéré comme un tissu de #remplissage, un peu comme pour boucher
des trous. Pourquoi le corps fabriquerait-il du tissu de remplissage ?
Les connaissances ont beaucoup évolué
ces dernières années. C’est un tissu intelligent. Il coordonne toutes les
parties du corps. Il est extrêmement vascularisé et possède une très fine
innervation. Les muscles sont avant tout contrôlés par les fascias, avant les
nerfs qui sont plus lents. C’est donc l’explication du terme de syndrome myo-fascial.
Le système des fascias est #fabuleux et
extraordinaire quand tout va bien. Mais il est #fragile comme tout ce qui est
très sophistiqué. Lorsqu’une partie des fascias est abîmée, cela se répercute
immédiatement sur le reste du corps. Ainsi une blessure périphérique peut tout
de suite vous faire des maux de ventre ou de tête.
En ce qui me concerne, une
inflammation dans le petit bassin m’a créé une tendinite d’Achille ( au niveau
du talon) et une périarthrite de l’épaule, puis une autre dans les biceps et,
finalement, par extension, des contractures dans tout le corps. Tout s’expliquait subitement,
à postériori.
A force de ne RIEN comprendre à ce qui
m’arrivait, mon corps a essayé de traduire cela comme il le pouvait.
J’ai aussi développé un énorme
chalazion au niveau de l’une de mes paupières qui est devenue rouge-violette
et extrêmement douloureuse. Puis la deuxième paupière en a fait de même. Après
plusieurs semaines, il a fallu m’opérer pour venir à bout de cette
symptomatologie.
Mon corps me disait : « Je
n’y vois plus rien » : Cela se nomme la somatisation.
Vous pouvez retrouver deux très bons documentaires
sur les fascias sur ARTE.
Un voyage initiatique des temps modernes
Comment je me suis guérie par l'intuition, les synchronicités et la rétrocausalité
Jour 83
Et la réponse attendue, c’est
- - Ça va bien, merci ! Et vous ?
Comment ça va ? Comment ça va ? Comment ça va ?
Ce n’est pas vraiment une question. C’est une habitude, une
forme de politesse.
- - Ça va ?
Que répond-on lorsque ça ne va pas DU TOUT ?
- Merci, ça va bien. Voilà
la seule acceptable.
Si vous dites :
- Ça ne va pas bien
- Ça pourrait aller mieux
- C’est difficile en ce moment
la personne face à vous est désarçonnée. Elle vous regarde avec
des yeux ahuris. Elle ne sait plus quoi dire. Elle est gênée, elle détourne un
peu le regard.
Je me souviens avoir vécu cette situation lorsque j’étais encore
du côté des bien-portants. J’ai rencontré une connaissance dans un supermarché
à qui j’ai dit :
- - Bonjour ! Comment ça va ?
Elle m’a répondu
- - Mal !
Hou là là. Je ne m’y attendais pas.
- - Ah bon ?
Et après, je dis quoi ? En ce qui me concerne, c’est :
- - Je ne peux plus m’asseoir !
Raconter, ne pas raconter ? Faire semblant que tout va bien ?
Aucune réponse n’est bonne.
Je ne suis pas la seule à avoir eu à vivre cette
situation de malaise devant cette question, c’est pourquoi j’en témoigne
aujourd’hui. C’est la même que vivent toutes les personnes gravement malades,
celles qui sont en deuil, celles dans la précarité, celles …
Alors, on essaie d’éviter la question en parlant du temps, on
essaie de trouver un sujet pour plaisanter. Mais souvent, on dit que ça va pour
raccourcir et on passe à autre chose. J’ai trouvé des petites phrases :
- - Bienvenue !
- - Heureuse de vous revoir !
Parfois on raconte quand même, et l’autre, qui ne s’y attendait
pas, se sent mal à l’aise ou envahi.
Parfois, il montre de l’#empathie. Mais souvent, il s’éloignera
progressivement, parce qu’il se sent impuissant, parce que c’est désagréable
d’entendre des mauvaises nouvelles, ou simplement pour se protéger. On aime
avant tout être avec ceux qui sont forts (et si possible riches).
Le comment ça va ? est un #amorçage de dialogue pour établir
une communication. Mais cela induit un partage de superficialité qui fragilise
ceux qui ne vont pas bien. Cela finit par les isoler. C’est un constat :
- celui qui est malade ou en deuil devient de plus en plus seul au
cours de son cheminement douloureux.
C'est ce qui m'est arrivé : Toute ma famille m'a progressivement abandonnée. C'est l'épreuve la plus douloureuse que j'aie eu à traverser.
Ce n’est la faute de personne. La société n’a pas prévu d’autres
options. C’est plutôt la faute à pas de chance. Ne peut-on vraiment rien n’y
changer ?
Je pense que si !
La prise de conscience est fondamentale, à savoir que tout le
monde ne va pas bien. Et être d’accord de l’entendre. Savoir offrir quelques
secondes sans rien dire, juste avec le sourire qui change tout et,
éventuellement, une main sur l’épaule.
Prendre soin de l’autre quelques instants nous rend heureux
pendant plus d’une heure. C’est gagnant-gagnant !
Un voyage initiatique des temps modernes
Comment je me suis guérie par
l'intuition, les synchronicités et la rétrocausalité
La synchronicité du slackline
L’Univers m’a encore fait un de ces clins d’œil synchronistique :
- avant-hier, j’ai vu pour la première fois deux jeunes gens tendre une sorte de
corde plate, très solide, entre deux arbres. J’ai observé quelques instants
pour être sûre d’avoir bien compris. Il s’agit d’un équipement amovible pour
s’exercer à marcher sur un fil.
Le même jour, j’ai commencé un livre d’Agnès Leydig où il est
constamment question de cette corde. C’est carrément un des sujets du livre.
Cela s’appelle un slackline qui permet de pratiquer ce sport, lequel
s’apparente à du #funambulisme. Il est question de trouver son équilibre dans
des conditions extrêmes.
Je comprends soudain cet incroyable symbolisme juste dans une
semaine où je dois arriver à me positionner complètement différemment. Je me
suis déjà cassé la gueule 2-3 fois ! Vraiment, l’Univers est toujours là
et ne m’abandonne jamais. Il faut que je me le dise. La solution existe déjà.
Il faut que je la trouve.
La seule solution est de ne pas me crisper à une branche qui va
casser. C’est tellement ça.
D’ailleurs, l’autre jour, il y a eu une autre synchronicité très
explicite et très marrante : un oiseau s’est posé sur une branche qui a
cassé sous son poids ! Cela m’a fait rire et j’ai imaginé la surprise de
l’oiseau.
Mais soudain, j’en comprends la force du message. Par contre le slackline
ne peut pas casser. Merci pour l’enseignement.
« La vie, c’est comme pour la
bicyclette. Il faut avancer pour ne pas perdre l’équilibre ». Albert Einstein
C’est dans ces situations de
déséquilibre qu’il est très très utile de recourir à ce fabuleux instrument
qu’est la rétrocausalité.
Reprenons mon exemple : « Nous
sommes le 1er janvier 2023 et je suis pleinement guérie »
met le GPS sur un point très précis de ce paysage nommé guérison.
Lorsque nous procédons ainsi, le GPS
peut entrer en action et envoyer des informations « attractives »
pour nous mener là où nous l’avons décidé. Tant que nous n’avons pas mis le cap
sur un objectif, nous sommes ballottés au gré du paysage, des rochers, du vent,
de la pluie, du soleil, des embûches, de la faim, de la soif, etc.
Alors, nous croyons aux chimères, aux
fantômes …
Par la rétrocausalité CONSCIENTE,
nous redevenons acteur de notre vie.
Comment je me suis guérie par l'intuition, les synchronicités et la rétrocausalité
Jour 85
Cori, la petite chatte yin yang de l’Univers
C’est un petit cadeau sur quatre pattes. Rien n’est plus
adorable qu’un petit chat.
Après une longue période d’isolement (abandon de ma famille), il manquait vraiment une
présence dans cette maison. J’ai alors eu l’intuition de prendre un chat. Malgré
mes douleurs qui étaient toujours aussi importantes, j’avais quand même atteint
une certaine sérénité grâce à ma nouvelle vie spirituelle.
C’était à l’époque du troisième confinement pour cause de Covid.
J’ai cherché partout un chaton, mais il n’y en avait aucun. J’ai fini par
comprendre que tout le monde avait choisi de prendre un chat.
J’ai donc lâché prise et dit à l’Univers de m’envoyer un
chaton de son choix, si c’était bon pour moi. Puis, j’ai classé le dossier.
Quelques semaines plus tard, ma fille m’a envoyé une photo de 3
chatons, disant qu’ils cherchaient une gentille mamie. Evidemment, je n’allais
pas en prendre 3. Mais aucun de ces chatons ne correspondait à l’idéal
esthétique que je me faisais des chats.
Au final, je me suis retrouvée avec Cori (pour Coriandre) dont
la tête m’interpelait. En effet, ses poils étaient répartis avec une moitié
complètement rousse et l’autre, tricolore. La séparation entre les deux moitiés
de la tête était tracée à la règle, en complète ligne droite. Cela m’a
interpelée.
Puis, je me suis souvenue que c’était le chat de l’Univers et
j’ai donc demandé à comprendre le message. Pourquoi m’envoyait-on un chat qui
ne correspondait pas aux canons de la beauté #féline dans mon esprit ?
L’Univers me l’avait en quelque sorte annoncée il y a déjà
plusieurs années. J’avais un jour été complètement fascinée par une photo
trouvée sur Internet, d’un chat qui avait cette tête moitié-moitié. Je l’ai
partagée à plusieurs reprises sur les réseaux sociaux. Et la voilà en vrai dans
ma vie.
En plus, je réalise que j’ai toujours été très attirée par les
chats peints par Rosina Wachmeister. J’en ai plusieurs posters suspendus sur
mes murs et une série de petites tasses à café, chacune avec un de ces chats
#yin-yang.
Quid de la #retrocausalité ou de la #premonition ?
Ai-je créé cette situation ou l’ai-je anticipée depuis de longues années ?
Une boucle temporelle, sans doute. J’ai compris qu’à part sa tendresse, elle venait m’enseigner quelque chose.
Avec sa tête particulière, elle me rappelait que la vie est
faite d’ombre et de lumière, de jour et de nuit, de yin et de yang.
Nous ne cherchons que la lumière, mais très vite, ce n’est plus
tenable ! La nuit, ou l’ombre, sont indispensables pour mettre en jour la
lumière et l’apprécier sans s’épuiser. Et subitement, j’ai réalisé que Cori
venait m’illustrer cette dualité complémentaire, en me le rappelant tous les
jours.
Retrouvez-moi sur mes deux sites
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