Mon
partage des 100 jours
Un voyage initiatique des temps modernes
Comment je me suis guérie par l'intuition, les synchronicités et la rétrocausalité
Jour 93
Synchronicités avec BTLV
Et lorsque les choses sont fluides, ça
se passe comme ça !
L’occasion s’est proposée toute seule
un jour que j’écoutais l’émission consacrée aux #synchronicités sur la chaîne
BTLV, média qui s’intéresse aux phénomènes extraordinaires. Plusieurs personnes
en témoignaient. A la fin de l’émission, les auditeurs étaient appelés à amener
aussi leurs témoignages.
Et je me suis dit « Pourquoi
pas ? » et j’ai contacté l’animatrice. J’avais des centaines de
synchronicités à raconter. Je savais qu'un jour j'en écrirai un livre, mais
quand ? Je n'avais pas le déclic. Et puis je n'étais pas au bout du chemin.
J’ai proposé à BTLV de raconter une
synchronicité concernant un livre de Laurent Gounelle.
L’animatrice m’a répondu dans les 3
heures pour me dire que cela aurait été un super partage à faire, mais que
l’émission n’existait plus.
Tant pis. Essayé, pas pu !
Mais le lendemain, la même chaîne m’a
rappelé pour me demander si j’étais d’accord d’en parler le soir-même dans une
autre émission. Ce qui fut fait ! Tout s’était passé avec une incroyable
facilité, comme une évidence, parce que c’était juste et parce que j’avais
lâché prise tout de suite.
Je vous laisse découvrir cette
interview et cette incroyable synchronicité.
https://www.youtube.com/watch?v=DraJa4PhcB4&t=4400s
Belle écoute et à demain, Cornelia
Un voyage initiatique des temps modernes
Comment je me suis guérie par l'intuition, les synchronicités et la rétrocausalité
Jour 94
Le cercle vertueux de la guérison
A partir de ce jour d’automne 2020 où j’ai appliqué la règle de la rétrocausalité consciente, en disant « le 1er janvier 2023 je SUIS complètement guérie », les choses se sont immédiatement mises à changer.
(Pour ceux
d’entre vous qui voudraient en savoir plus sur la rétrocausalité, vous pouvez
trouver des informations sur mon site : Intuition, Synchronicités, Rétrocausalité).
J’ai commencé
par avoir l’intuition qu’il y avait un problème inflammatoire dus aux produits
laitiers ( vous pouvez retrouver les explications sur le jour 78).
Après avoir
trouvé les informations nécessaires à mon esprit scientifique, j’ai immédiatement
changé de régime alimentaire. Rapidement, je me suis mise à perdre du poids et
j’ai guéri de mon diabète. Les mille aiguilles dans tout mon corps ont commencé
à disparaître progressivement.
Il restait néanmoins la problématique de base, une r*, dont j’étais la seule à être au courant, les dizaines de médecins consultés s’étant trouvés incompétents. Je remercie l’Univers de m’avoir inspiré l’idée d’étudier la médecine! Si je m’en sors aujourd’hui, c’est parce que je suis mon meilleur médecin traitant. Cela dit, je ne pouvais pas m’opérer toute seule. Je vous raconterai ce dernier parcours dans un prochain post.
Puis, diverses problématiques familiales sont devenues criantes, jusqu’à ce que je comprenne qu’il y avait aussi plusieurs graves problématiques psychogénéalogiques à mettre à jour.
La maladie est multifactorielle et la guérison doit donc s’opérer à tous les niveaux et dans tous les domaines. S’attaquer à l’omerta familiale m’a demandé beaucoup de courage, mais je n’ai pas eu le choix.
Lorsque je sentais que je me laissais à nouveau envahir par le doute et le désespoir, je prenais de la hauteur, à l’image d’un aigle. Je voyais ainsi le processus de guérison opérer, lentement, mais sûrement. Je gardais mon objectif « Nous sommes le 1er janvier 2023 et je suis complètement guérie ».
Je me le répète comme un mantra, aujourd’hui encore. La répétition est très importante car elle agit sur la neuroplasticité et sur l’épigénétique.
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Comment je me suis guérie par l'intuition, les synchronicités et la rétrocausalité
Jour 95
Un chaud-froid
diagnostique
Bien que mon corps se guérisse progressivement, il restait la problématique de base qui demandait absolument une intervention chirurgicale de mon petit bassin.
Je ne savais
plus que faire. Pendant plus de 8 ans, tous les médecins consultés s’étaient
montrés incompétents. Les chirurgiens se sont lâchement désistés.
La situation
était trop complexe. Ils craignaient un échec thérapeutique. J’étais démunie
devant tant de mes tentatives qui n’avaient abouti à rien. Je ne savais plus à
quel saint me vouer.
J’ai lancé un SOS dans l’Univers : « Aidez-moi ! Je ne sais plus que faire ! ».
Puis soudain, la réponse est venue via une intuition fulgurante :
- - il faut consulter un médecin où il n’y a aucun
enjeu chirurgical. Puis m’est instantanément venue le nom d’une collègue avec laquelle
j’avais travaillé il y a 30 ans !
- Bien sûr, c’était l’évidence ! Comment n’y avais-je pas pensé plus tôt !
Le RV a été pris immédiatement. J’y suis allée en pleine confiance.
Mais soudain, la situation s’est complètement retournée. Ma collègue a totalement banalisé la situation et m’a parlé de physiothérapie à la place de chirurgie. J’étais anéantie ! Est-ce que cette course d’obstacles ne finirait jamais ?
Je suis restée sans voix. En tant que médecin, je savais exactement quel examen il fallait faire. Si je le lui disais, j’allais heurter son égo professionnel. Ce n’est pas au patient de dire au médecin ce qu’il doit faire. Le médecin ne le supporte pas.
J’ai fini par dire : « J’aimerais quand même avoir un avis chirurgical » .
Cela signifiais que je lui demandais de m’adresser à un confrère chirurgien. Pour cela, elle devait évidemment faire l’examen spécialisé en question. Elle a donc finit par le proposer. Ouf !
Puis elle a dit : « Peut-être que la messe sera dite ! ».
C’est effectivement ce qui s’est passé. Un triple diagnostic est ENFIN tombé, après 8 ans de tourisme médical. Il a confirmé celui qui avait été proposé par le premier médecin que j’avais vu. Il avait dit « Vous avez une r* et parfois on pose un filet ».
C’est comme une
boucle qui s’est bouclée.
Une longue, longue course d’obstacles pour me retrouver au point de départ!
Dans l’intervalle, j’ai cumulé toutes les complications de ce retard au traitement. Cependant, ce cheminement dans les douleurs et les embûches de partout et le risque de mourir à deux reprises, m’ont obligée à chercher des solutions dans d’autres dimensions. Je me suis enrichie de nouveaux savoirs, de nouvelles expériences.
J’ai compris que je n’étais pas revenue au point de départ, mais un étage plus haut, comme dans les parkings en colimaçon.
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Jour 96
Et puis un jour,
tout change
Je reviens à l’égo professionnel de ma
collègue. Elle a diagnostiqué malgré elle une triple problématique qu’elle
avait complètement sous-estimée. Elle devait maintenant me mettre en contact
avec un chirurgien.
Elle devait surtout me rappeler pour
discuter de la suite. C’était ce qui avait été convenu. Et voilà qu’elle ne me
rappelait pas !
J’ai dû user de ma plus grande
psychologie pour ne pas aggraver le problème.
Et lorsque que nous nous sommes enfin
parlées, elle a voulu me renvoyer chez le pire des professeurs, celui qui avait
complètement raté le diagnostic 8 ans plus tôt et que j’ai dénommé le Professeur
Cata. C’était comme une boucle qui se bouclait à nouveau. Alors, j’ai dit NON !
C’est alors, seulement, qu’elle m’a
proposé un professeur dans l’hôpital de ma ville. Je le nommerai le Professeur Bonheur.
Il a néanmoins fallu attendre 3
semaines avant ce rendez-vous. Les semaines les plus longues de ma vie !
Allait-il, comme les autres, se défiler ?
Lors de cette consultation, comme je
ne pouvais pas attendre assise sur une chaise, j’ai demandé à l’infirmière de
pouvoir m’allonger.
Et quand il est entré, il m’a dit avec
un grand sourire : « Oh ! vous voulez un sirop ? ».
J’ai compris qu’il avait cru que j’avais fait un malaise.
Et puis, en moins d’une heure, il a
analysé ma situation si complexe, posé les questions adéquates, regardé les
résultats des examens et posé l’indication opératoire. Il fallait bien mettre
un filet dans mon bassin, comme le premier médecin, consulté 8 ans plus tôt,
l’avait suggéré.
Et le Professeur Bonheur de conclure
qu’il ne comprenait pas pourquoi on ne m’avait pas opérée depuis
longtemps !
C’est effectivement incompréhensible sauf vu sous l’angle du parcours initiatique. !
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Comment je me suis guérie par l'intuition, les synchronicités et la rétrocausalité
Jour 97
Une surprise décoiffante
Il s’est produit une situation
totalement imprévue et imprévisible :
Une dizaine de jours avant
l’opération, mes douleurs horribles des derniers mois ont commencé à s’atténuer
et toute l’inflammation, à se calmer, alors que rien n'avait encore changé dans
ma vie, sauf mon positionnement depuis le futur, comme je l'ai déjà
expliqué.
Même mes problèmes de tuyauterie
interne sont devenus mieux gérables ! J'ai pu recommencer à
m'asseoir un peu et à rester debout plus longtemps. Plusieurs personnes en ont
été les témoins. C'était à n'y rien comprendre.
Sauf vu sous l'angle de l'autoguérison
qui a commencé au moment de ma décision de changer mon positionnement depuis le
futur et qui se présentait maintenant sous la forme d'une courbe exponentielle.
C'était du jamais vu un truc pareil ! C'était complètement expérimental et je
ne m'y attendais pas. Evidemment la triple problématique mécanique de base
était toujours là et l'opération indispensable.
J’ai fini par comprendre que le sens du temps était en train de s’inverser ! Au lieu d’aller dans le sens des causes aux conséquences, on allait des conséquences aux causes, comme cela se produit dans la rétrocausalité, où le sens du temps va du futur au présent !
En d’autres mots : au lieu que
l’opération soit le début d’une amélioration, l’amélioration précédait
l’opération ! Au lieu que l’opération soit un début, elle était
une conclusion. Un point final en quelque sorte. Inimaginable, ce truc !
Il faut l’avoir vécu pour le croire.
C’est donc la démonstration
expérimentale de ce processus que j’ai enclenché il y a quelques mois, sans que
je n’aie même pu l’imaginer ce dernier épisode. Inouï !
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Jour 98
Quand l’astrologie s’en mêle
Je m’empresse de dire que je ne
connais rien à l’astrologie, mais que j’ai occasionnellement consulté une
psyho-astrolgue, qui m’a à chaque fois bluffée par les précisions et la
cohérence de ce qu’elle m’expliquait.
Je pense que ces consultations m’ont
permis à l’époque où je ne connaissais rien encore au monde de l’Invisible,
d’observer que tout était interrelié par des lois que je ne connaissais pas,
mais qui semblaient soudain se manifester. Carl Gustav Jung en parle comme de
l’Unus Mundus.
L’indication opératoire avait donc été
posée et je m’attendais naïvement à ce que cette intervention ait lieu autour
de mon anniversaire. Mais en raison du Covid, toutes les opérations non essentielles
ont été repoussées. La date a donc été fixée au 9 juillet.
Je ne comprenais rien à cette date qui
semblait tomber du ciel ( C'est le cas de dire). Je m’attendais vraiment à un jour un peu plus symbolique.
Je cherchais un signe qui confirmerait la fin de mon odyssée.
J’ai donc écrit à cette dame et voici ce qu’elle m’a
répondu :
Heureuse pour vous que votre opération soit maintenant derrière
vous, et que tout se soit bien passé.
Avec la Nouvelle Lune Cancer dans la nuit de vendredi au samedi (le 10 à 3h18), vous venez donc
d'"accoucher de vous-même" (une nouvelle fois ! ) et une autre étape
de votre vie peut commencer. Effectivement, votre Ascendant se trouvant à 17°
du Cancer - ce qui veut dire que le Soleil s'y trouve chaque année autour
du 8/9 juillet (selon bissextile ou pas) - cette intervention,
aboutissement d'une véritable "saga", pour ne pas parler d'une
"descente aux enfers", n'aurait pas pu mieux "tomber"!
De toute façon, astrologiquement parlant, vous êtes en train de transiter dans
le signe de votre AS depuis le mois d'avril 2019. Cet "accouchement de
soi-même", oser
être/devenir réellement qui l'on est, se trouve donc depuis maintenant deux
bonnes années à la première place de votre programme. Ceci veut aussi dire que
les couches les plus profondes de votre psyché (appelées le stade
préconscient), ainsi que vos premières années de vie de façon générale, sont
"labourées". Avec un Saturne (rôle du prof./maître) dans la Maison 4
(correspondant au Cancer), vous vous êtes - entre autres - incarnée pour "nettoyer"
les deux lignées (matri- et patrilinéaires). Où - avec Neptune également en
M 4 - il y a dû y avoir pas mal de mensonges, de semi-vérités, secrets,
illusions et déceptions de toutes sortes, etc. Pas seulement, mais avant tout
concernant le domaine relationnel. Non seulement homme-femme, donc couple, mais
toutes formes de relations, même les affaires.
Comme vous avez, en plus,
"rencontré" Uranus fin d'octobre passé, la/les "réforme/s" dans les relations familiales ont
également pu commencer à être réalisées. Et nous ne parlons pas seulement
"famille" en termes de "lien du sang", évidemment "aux
premières loges". Mais "famille à son plus élevée", c.à.d.
la famille humaine, ou le règne humain (comme les règnes
animal/végétal/minéral).
Les chaussettes m’en sont tombées, surtout
qu’elle ne savait rien de toutes les problématiques psycho-généalogiques que
j’étais en train de mettre à jour.
Quelle est cette intelligence qui
organise ainsi nos vies, même si nous n’en savons rien consciemment. ? Cela
me rend très humble et m’émerveille.
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Comment je me suis guérie par l'intuition, les synchronicités et la rétrocausalité
Jour 99
Le papillon s’envole
Les 10 ans de maladie et de souffrances m’ont plongée progressivement dans l’impuissance et l’isolement. J’ai dû arrêter mon métier, fermer mon cabinet, arrêter de faire des conférence et animer des ateliers, ne plus aller au restaurant, ni au spectacle, renoncer à préparer des repas pour la famille, ne plus inviter des amis, arrêter de faire mes longues marches, être couchée 23h/24, être transportée allongée pour aller à mes rendez-vous médicaux.
Tout mon tissu social et professionnel s’est rétréci comme une peau de chagrin ( c’est le cas de dire), j’ai pris beaucoup de poids, je suis devenue diabétique, j’ai perdu toute ma masse musculaire.
La famille s’est épuisée et m'a progressivement abandonnée. Je n’ai pas pu
m’occuper de mes petits-enfants. Je n’ai rencontré que des médecins
incompétents. J’ai touché le fond des abysses. J’ai traversé plusieurs nuits
noires de l’âme où l’on a juste plus envie de vivre. Je n’avais plus aucun
espoir.
Puis, en automne 2020, j’ai relu une
deuxième fois « Se souvenir du futur » de Romuald Leterrier
et Jocelin Morisson et j’ai compris le phénomène de la rétrocausalité. Je
n’avais plus rien à perdre, juste à gagner. J’ai décidé de me lancer dans cette
démarche complètement expérimentale, celle de la synchromédecine. Et j’ai pris
des notes tous les jours.
J’ai compris que pour changer les
choses, je devais me projeter dans le futur en disant « Nous sommes le 1er
janvier 2023 et je suis pleinement guérie ». Toute cette expérience a été
racontée dans mon partage des 100 jours.
Toute ma vie a été revue, physiquement,
émotionnellement et spirituellement. J’ai passé de la chenille au papillon.
Je continue donc cette expérience de
rétrocausalité aujourd’hui en disant « Nous sommes le 1er janvier 2024 et j’ai publié
mon livre. J’ai aussi rencontré un autre papillon pour aller butiner la fleur
de l’amour ensemble ».
Un voyage initiatique des temps modernes
Comment je me suis guérie par l'intuition, les synchronicités et la rétrocausalité
Jour 100
Hello tous les chers amis,
C’est donc ainsi
que se termine ce partage de plus de 3 mois où je vous ai raconté mon chemin de
Compostelle, une sorte d’inversion de sens et de but, où le challenge a été de rester immobile
pendant des années alors que j’étais hyperactive et impatiente de nature.
Il n’y a eu aucune porte de sortie avant que j’aie compris tous les messages de l’Univers, ceux pour m’aider à résoudre mes propres problématiques et celles de toute ma famille.
Cela a été un
vrai chemin initiatique où mon âme a choisi d’opérer cette métamorphose
jusqu’au bout. Je n’ai pas eu le choix.
C’est comme pour
un accouchement : une fois que c’est enclenché, il faut que ça se termine
d’une manière ou d’une autre.
Ces posts du
partage des 100 jours sont des extraits d’un manuscrit qui est en cours. Il
deviendra un livre d’ici une année environ. Je vous tiendrai au courant.
J’ai eu beaucoup de plaisir à partager avec vous certaines de mes découvertes.
Je voulais aussi
tous vous sensibiliser aux douleurs, aux souffrances et à la solitude de certains
qui nous entourent. Restez présents pour eux, même si parfois c’est épuisant.
Surtout pendant ces fêtes où il fait sombre et froid. Trouvez chacun dans votre entourage une personne qui risque d’être seule. Envoyez-lui un message. Allez-lui faire une visite. Amenez-lui un petit cadeau. Invitez-la. Partagez mes posts et l’adresse de mon site.
Je voulais aussi
vous dire, à vous tous les malades et douloureux chroniques, physiques et
psychiques : « Je vous comprends. Vous n’êtes pas seuls.
Accrochez-vous à mes lignes si elles vous aident. Je vous aime. »
***
Mais nous avons tous aussi en nous quelques blessures qui n’ont pas pu cicatriser.
C’est pourquoi je vous offre aujourd’hui la possibilité d’aller à la rencontre de votre enfant blessé.
Donnez-vous ce
temps. Prenez ces 50 minutes rien que pour vous. C’est moins qu’une série ou
même qu’un film quelconque.
Vous le valez bien, n’est-ce pas ?
Passez de belles fêtes, même si vous êtes seuls. Vous êtes maintenant accompagnés.
Et envoyez-vous, à vous-même, les meilleurs vœux pour cette nouvelle année. Souhaitez-vous de découvrir une nouvelle ressource en vous.
Vous êtes la seule personne avec laquelle vous êtes sûr d’être là jusque au bout. Alors soyez votre meilleur ami !
Je viens de
mettre en ligne « La méditation pour l’enfant blessé ».
Alors je vous
retrouve de l’autre côté du voile et vous dis à bientôt.
Bonnes retrouvailles, Cornelia
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